L’Administration du Président Joe Biden a une nouvelle fois infligé, le 1er juillet 2021, un soufflet retentissant aux hauts responsables algériens en réaffirmant que les Etats Unis d’Amérique ne modifieraient pas leur position sur la reconnaissance de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara.
Il n’y aura donc aucun changement dans la position américaine relatif à la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara et l’Administration du Président Joe Biden, vient de consacrer, de manière on ne peut plus claire, la continuité de la ligne politique des Etats-Unis d’Amérique sur ce dossier clé pour son allié stratégique ; une position constante de l’Administration Biden, a tranché, le 1er juillet 2021, le Porte-Parole de la diplomatie américaine, Ned Price lors de son point de presse.
Cette déclaration a suscité moult réactions dont celle de l’Avocate des Droits de l’Homme et de la Sécurité Nationale, Irina Tsukerman, pour laquelle cette continuité consacre « les liens historiques naturels qui cimentent les relations entre le Maroc et les Etats-Unis d’Amérique, tout en rappelant le rôle clé du Maroc dans la paix et la stabilité en Afrique du Nord et dans le processus de paix au Proche Orient tout en indiquant que les Etats-Unis d’Amérique reconnaissaient le rôle de premier plan dans la gestion des questions diplomatiques, économique et sécuritaires du Maroc dans la région
De son côté, le vice-Président aux Affaires Mondiales de l’Université américaine de la Nouvelle Angleterre (UNE), a affirmé que l’Administration Biden est « pleinement consciente de l’effort inlassable du Maroc pour parvenir à une solution juste et définitive » au différend régional sur le Sahara, de même qu’elle « apprécie à sa juste valeur » l’apport stratégique du Royaume du Maroc au Sahel et en Afrique ainsi qu’au Proche Orient.
Même réaction de la part du Président de l’institut Polisens à Ottawa pour qui la continuité de la position américaine au sujet de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara montre que cette reconnaissance est « bien le fruit de plusieurs années de consultations et de persévérance » de la diplomatie marocaine, sous la conduite du Roi Mohammed VI.
Enfin, autre réaction à souligner, celle du Président de la Communauté Juive Marocaine de Toronto, Simon Keslassy qui s’est dit « ravi de la position de la nouvelle Administration du Président Biden en faveur de la marocanité du Sahara » qui consacre la reconnaissance par une puissance planétaire, un acteur majeur des relations internationales et un membre permanent du Conseil de Sécurité. « Chose à laquelle je m’attendais, vu les excellentes relations que les Etats- d’Amérique ont toujours maintenues avec le Maroc », a-t-il dit. « Cette décision, juste et politiquement forte, devrait servir d’exemple à suivre pour les pays européens », a soutenu Simon Keslassy.
A remarquer que contrairement à l’obstination de la junte militaire algérienne à vouloir nier la réalité historique, politique, culturelle, religieuse et économique de la marocanité du Sahara, les slogans brandis par les manifestations populaires du Hirak en Algérie sont clairement révélateurs que la question dite du Sahara n’est pas la cause du peuple algérien mais bien, une affaire du régime militaire algérien.
Une manœuvre des responsables algériens stérile et contre-productive visant à détourner l’attention des plaintes sérieuses et légitimes du Haut-Commissariat et des milliers d’ONG’s à travers le monde, au sujet des violations massives des Droits des algériens à la liberté d’expression, de rassemblement, et de manifestation.
Il est devenu certain que les dirigeants algériens ne s’intéressent pas au principe d’autodétermination ou au soutien à un supposé peuple sahraoui, qui n’a jamais existé, mais tout simplement pour parvenir à des fins géopolitiques hégémoniques.
D’ailleurs, lors de débats au Conseil des Droits de l’Homme, tenus le 1er juillet 2021 à Genève, le Maroc a fustigé les mensonges contenus dans la déclaration du représentant de l’Algérie et attiré l’attention, à cet égard, sur le calvaire des Sahraouis marocains retenus contre leur gré, dans les camps de Tindouf, par les milices du polisario avec le soutien du régime militaire algérien, notant avec préoccupation les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires commises par les autorités algériennes à leur encontre.
Au final, l’Algérie est bien le principal soutien indéfectible du polisario et, malgré, les nombreux effets d’annonce, la nouvelle Administration américaine à sa tête Joe Biden, n’est pas revenue sur la reconnaissance par les Etats-Unis d’Amérique de la souveraineté marocaine sur son Sahara.
En effet, non seulement, le Président américain Joe Biden n’est pas encore revenu sur la décision du 10 décembre 2020 prise par son prédécesseur, Donald Trump, de reconnaître la souveraineté du Maroc sur son Sahara, mais, aussi et surtout, il a été noté que Washington continue toujours de s’en tenir à des déclarations prudentes sur le sujet qui reste très sensible.
Il est de notoriété publique que les responsables algériens rêvent de coloniser le Sahara marocain pour avoir un accès sur l’Océan Atlantique et c’est pour cette unique raison qu’ils ont tout sacrifié et usent et abusent même des ressources du peuple algérien pour corrompre des pays importants, mais le monde a découvert le pot aux roses de ces escrocs polisariens et par sagesse de nombreux pays sont aujourd’hui sont pour l’autonomie.
Ce soutien du régime algérien à la pseudo RASD atteindrait la somme pharaonique de plusieurs dizaines de milliards de dollars ; une perte considérable d’argent pour le peuple algérien dans un contexte de grave crise financière.
Un rêve de voir la marocanité sur son Sahara remise en cause par les Etats-Unis d’Amérique se dissipe au fil des jours aussi bien en Algérie qu’en Espagne et en Allemagne.