Il n’y a plus de doute, le Gouvernement socialiste et le parti marxiste PODEMOS viennent d’opter pour la désinformation outrageuse à l’encontre du Royaume du Maroc suite au flux de migrants subsahariens et marocains dans la ville occupée de Sebta.
Voulant cacher à la face du monde le comportement inadmissible de la Garde Civile espagnole, connue entre autre pour être un corps de sécurité d’une extrême violence, le Gouvernement espagnol n’a rien trouvé de mieux que de publier une photo montage d’un enfant syrien en prétendant qu’il s’agissait d’un petit marocain.
Cette manœuvre d’intoxication destinée à la presse internationale fut suivie par une formidable orchestration de bas étage lorsque le Gouvernement socialiste espagnol a monté, sans scrupule aucune, l’histoire d’une mère de famille et de son enfant sauvés de la noyade par les espagnols. De quoi rire !
En plus de ces histoires à dormir debout, la Garde Civile espagnole a bien violenté de manière ignoble les migrants jusqu’à leur retour au Maroc, en publiant en parallèle, pour redorer leur blason connu depuis belle lurette de massacreur, une photo d’un immigré subsaharien accueilli chaleureusement par une femme espagnole. Quel paradoxe !
Ce qui a valu au Gouvernement espagnol des critiques acerbes d’Amnesty International (A.I). Virginia Alvarez, de l’organisation, vient de blâmer le rapport des autorités espagnoles indiquant que 5.000 personnes avaient été expulsées vers le Maroc.
La responsable d’A.I a considéré l’opération comme un refoulement collectif sans aucune garantie, permettant de sélectionner les personnes ayant besoin d’aide et de soutien et d’ajouter que l’ampleur de la vague migratoire n’est plus une justification pour refouler les migrants sans respect des Droits Humains.
Quant à cette justice espagnole, qui refuse aujourd’hui de relancer l’affaire du chef des polisariens Brahim Ghali, elle a bien poursuivi l’ancien Roi Juan Carlos, sa sœur et son gendre et ce, sur instructions du parti socialiste espagnol et des marxistes du parti de PODEMOS.
Mais, comme pour toute démarche illicite, il aura fallu des interventions pour permettre une telle manœuvre. La demande a, dans un premier temps, été confrontée à la réticence du Ministre espagnol de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska. Mais ses craintes ont été vite évacuées plus en haut. Pour des considérations humanitaires mais aussi matérielles et stratégiques, l’Algérie étant le premier fournisseur en gaz de l’Espagne.
On a vu des forts en gueule, mais comme les caporaux algériens, qui se prétendent Généraux, jamais. Ils feraient mieux de se taire et de retourner dans leur caserne comme tout militaire qui se respecte avant d’être humiliés par le peuple algérien.