Selon, les experts en environnement environs 70 % des décès de vaches et et chèvres à Nouakchott sont causés par l’ingestion de sacs en plastique par ces animaux.
Selon Anas Seko, activiste écologiste béninois, les populations n’ont pas suffisamment accès à l’information concernant l’impact des déchets plastiques et ne peuvent donc pas adapter leurs comportements.
Selon lui, sur DW « les microplastiques peuvent se retrouver facilement dans notre environnement, dans l’air. Il y a une question de santé publique qui se joue. On parle de cancers, de dérèglements hormonaux. Cela a un impact sur la santé publique et l’aspect esthétique de nos villes. »
Selon l’ONG Greenpeace, lorsqu’on jette des sacs, cela crée toutes sortes de problèmes. Les systèmes d’évacuation des eaux sont bouchés par les plastiques. Dans les décharges, où les déchets sont parfois brûlés, ils libèrent des toxines dans l’atmosphère.
Sur 54 Etats africains, 34 ont adopté une loi interdisant les plastiques. Certains l’ont déjà mise en œuvre, d’autres sont en train de le faire.
16 ont par exemple interdit totalement ou partiellement les sacs en plastique, sans introduire toujours de sanction en cas d’infraction.