Les habitants de Nouakchott vivent dans un état d’inquiétude face à la crise des prix élevés des denrées alimentaires essentiel notamment le sucre, le riz, le lait et la viande de poulet.
Les commerçants ne trouvent pas du mal de faire monter les prix en l’absence de contrôle de l’état par les services concernés du ministère, qui se concentrent en leur présence des zones de marchés des classes riches et puissantes. L’état est absent dans les marchés des quartiers défavorisés ou les commerçants élèvent les prix sans punition au grés des consommateurs démunis.
Un habitant des quartiers défavorisés a déclaré que les commerçants des quartiers dans lesquels il vivent ne respectent pas les prix, ils vendent à leur guise, sans crainte d’être surpris par les contrôler qui sont inexistants à leur niveau.
Le kilogramme de poulet est vendu à 950 ouguiyas, le sucre à 300 et le riz à 450 ouguiyas ancien monnaie.