Quand la case de ton voisin brûle, aide le à l’éteindre dit l’adage populaire africaine. C’est ce que le Mauritanien Mohamed ould Aziz, le Malien Ibrahim Boubacar Keita et Alpha Condé n’ont pas compris.
Oui, parce qu’en 2014 lorsque le coup d’État Burkinabè se produisait pour mettre fin au régime légalement élu du Président COMPAORÉ alors que son mandat était toujours en cours, ils étaient tous heureux et ont dit enfin, il est parti.
Rira bien qui rira le dernier dit aussi une autre pensée Africaine.Certains comme le Mauritanien Mohamed Ould Aziz et Idriss Déby l’on aussitôt fait savoir. Le Mauritanien était fier de se pavaner dans les rues de la capitale jusqu’au palais des sports pour installer les successeurs non démocratique qui venaient de s’emparer contre toutes les règles édictées du pouvoir.
Boubacar Keita contraint de ne pas achever son deuxième mandat, Idriss Déby tué au front selon source officielle, Alpha CONDÉ cueilli comme une mangue non mûre car lâché par sa garde…et le syndrome semble être contagieux.D’où la question à QUI LE TOUR?
Désormais il suffit plus en Afrique de gagner les élections avec des scores pharaoniques pour jurer terminer son mandat.Non! Il faut travailler à satisfaire les besoins primaires des populations et éviter de museler son opposition ou de la tenir par la ceinture pour se croire tour permis.
Des officiers bien formés sont aux aguets et observent vos actions. Les condamnations de principes des différents fans club des chefs encore en exercice somme toute normale n’arrêtera par ce cycle tant que les gouvernances ne changeront pas, aucun Président n’est à l’abri au vu du constat.Bye bye Alpha. Tu as été ingrat et ça se récompense toujours comme ça par cette façon. Tu dois ton accession au pouvoir en Guinée à Blaise COMPAORÉ
Netafrique
NB : Titre source : Chute d’Alpha Condé: Le prix de l’ingratitude