Les manifestations populaires en Afrique sub-saharienne ne cessent de faire des victimes auprès des chefs d’État de la région grâce à leur « arrogance ». C’était le cas au Mali en 2020, en Guinée en 2021 et récemment au Burkina Faso le 24 janvier dernier. Ce virus continue encore de se propager dans la sous-région Ouest – africaine. En effet, le Niger du président Mohamed Bazoum semble aussi menacé.
Élu récemment à la tête du Niger lors d’un scrutin très contesté en février 2021, le fauteuil du président Mohamed Bazoum est trop menacé. A seulement une année à la tête du Niger, il fait déjà l’objet d’un rejet dans son propre pays et par sa propre population. Chose qui risque d’écourter sa présidence.
Depuis son investiture, le président de la République du Niger et son gouvernement ne cessent de faire de sorties ratées notamment à l’encontre du peuple et du gouvernement malien pour faire plaisir au peuple de « La République en marche et ses acolytes ». Des sorties vraiment haineuses qui se font très généralement sur le sol français, à l’encore d’un pays qui défend sa souveraineté et son intégrité.
En outre, le Niger est en proie depuis plusieurs années à des exactions djihadistes dans la zone sud-ouest du pays. Les populations civiles perdent la vie au jour le jour. En effet, la société civile nigérienne avait, à la première décade du mois de janvier 2022, exprimée dans une déclaration ses vives préoccupations face à la dégradation de la situation sociale, économique et sécuritaire dans le pays.
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