L’Agence de Promotion des Investissements en Mauritanie (APIM) et le ministère des affaires économiques et de la promotion des secteurs productifs dont elle relève, ont abattu un travail de titan dans leurs efforts inlassables visant à attirer les investisseurs étrangers à placer leurs capitaux en Mauritanie.
Cet acquis gigantesque qu’il faut diamétralement opposer aux pseudo-investissements des régimes antérieurs, n’est pas seulement inédit mais aussi efficient et fort stimulateur de la locomotive économique à moyen et long terme voire manifestant des capacités de l’inscrire dans la durabilité.
C’est d’autant vrai s l’on sait que ces efforts appréciables ne sont pas le fruit d’une politique politicienne et de fonds étrangers considérables empruntés chez les pays du Golfe ou les puissances occidentales pour être investis dans des projets fictifs, improvisés, improductifs ou à perte, mais bien au contraire, seront injectés dans des programmes pertinents, rentables, croissants et générateurs de revenus, qui devront hisser la Mauritanie vers le stade tant souhaité de l’industrialisation, de l’autosuffisance alimentaire et de la compétitivité sous- régionale et internationale.
Cette « révolution » de l’investissement en Mauritanie, se trouve d’ailleurs attestée par les projets de décret de 5 conventions établissements adoptés hier mercredi 17 novembre courant par le Conseil des ministre dont la teneur tourne en orbite autour de l’industrie alimentaire (viande, lait UHT, légumes, fruit, aliment-bétail, fourrage…), à travers la création d’unités productrices nationales.
Une politique judicieuse et prometteuse qui conduira irréversiblement sous la direction le ministre des Affaires économiques et la Directrice générale de l’APIM, respectivement Ousmane Mamoudou Kane et Mme Aissata Lam, eu égard à leur ferme volonté de réussir, corroborée par leurs expériences couronnées de succès avant même d’entrer dans le sérail, vers la rupture graduelle de la Mauritanie avec la chaine humiliante de l’importation massive de ses besoins voire même de ses propres produits, privilégiant « consommer étranger ».
Abondant hier à la séance des commentaires faits par des membres du gouvernement sur ces conventions établissement, Ousmane Mamoudou Kane, on n’est peu plus clair sur « cette révolution » :
« L »APIM, qui fonctionne depuis six mois seulement, a déjà drainé de nombreux investisseurs privés, qui vont injecter 123 milliards d’anciennes ouguiyas, dans l’économie locale », a-t-il affirmé.
C’est incroyable mais vrai, puisque cela ne sort pas de la bouche de politiciens rôdés au mensonge, mais plutôt d’un technocrate aux mains propres et dont le patriotisme est reconnu par tous!
« De ce fait, 3300 emplois directs et 7600 emplois indirects seront créés, dans l’agro-industrie, l’industrie et la manufacture, entre autres », a-t-il ajouté.
En dépit de ces acquis colossaux, l’APIM fera beaucoup mieux, selon le ministre, à la grande satisfaction du pouvoir du Président Ould Ghazouani, dont les autres Départements ministériels continuent de trainer alors que le compte à rebours du mandat présidentiel a commencé et demain sera l’heure de présenter des bilans convaincants et réels.
Toujours à propos de l’APIM, le ministre dira : « il s’agit, , d’avancées notables, mais l’APIM n’a pas toutefois encore atteint sa vitesse de croisière ».
Et de conclure : « les investisseurs privés sont de plus en plus rassurés par le climat qui prévaut, par la célérité avec laquelle leurs dossiers sont traités et par l’accompagnement qu’ils reçoivent de la part de ceux qui prennent en charge leurs dossiers ».
Avec cette plus-value colossale de l’action gouvernementale, le ministre Ousmane Mamadou Kane et la DG de l’APIM Aissata Lam peuvent être qualifiés sans risque de se tromper et à la lumière du bilan de leur travail » le Duo gagnant » de l’équipe ministérielle du Premier ministre Mohamed Ould Bilal