Dans un paysage politique souvent critiqué pour sa distance avec les réalités du peuple, le député mauritanien Khally Diallo s’impose comme l’une des rares voix constantes, courageuses et profondément engagées en faveur des citoyens, en particulier des plus vulnérables. À travers ses interventions à l’Assemblée nationale, ses déplacements à l’intérieur du pays, son activisme à l’international et sa proximité avec la jeunesse, il incarne une nouvelle manière de faire de la politique : directe, courageuse et sincère.
Un député qui interpelle les ministres sans détour
À l’Assemblée nationale, Khally Diallo est connu pour son ton ferme et sans complaisance. Il interroge régulièrement les ministres sur des sujets sensibles que beaucoup évitent :
• les expropriations abusives, notamment dans les zones rurales,
• les bavures policières,
• l’insécurité persistante,
• les retards dans les projets d’infrastructures,
• le clientélisme administratif,
• les violations des droits humains,
• le racisme d’État
• le lourd passif humanitaire…
À plusieurs reprises, il a publiquement demandé des comptes sur des dossiers d’expropriation de terres touchant des communautés pauvres, dénonçant une injustice flagrante. Dans l’hémicycle, il déclarait notamment :
« On ne peut pas construire la paix et l’unité nationale sur l’injustice, l’exclusion et la peur. L’État doit protéger les faibles, pas les écraser. »
Lors des débats sur la sécurité, il n’a pas hésité à interpeller le ministre de l’Intérieur sur des cas présumés de violences policières, exigeant des enquêtes indépendantes, des sanctions et surtout le respect de la dignité humaine.
Un défenseur constant des droits humains et du passif humanitaire
Khally Diallo est également l’un des parlementaires qui aborde sans détour la question du passif humanitaire, sujet encore sensible en Mauritanie. Il exige que la mémoire, la justice et la réparation soient traitées avec sincérité et responsabilité, estimant que la réconciliation ne peut être durable sans vérité.
« On ne réconcilie pas un pays en imposant le silence aux victimes. La justice n’est pas un luxe, c’est une condition de la paix. »
Sur les questions de discrimination, de racisme et d’inégalités, il multiplie les interpellations pour rappeler que tous les Mauritaniens doivent être égaux devant la loi, sans distinction d’origine, de statut social ou de couleur de peau.
Une voix qui porte au-delà des frontières
Le combat du député Khally Diallo ne s’arrête pas aux frontières nationales. Par ses déplacements à l’étranger, ses rencontres avec des organisations de défense des droits humains, des parlementaires et des acteurs de la société civile, il joue un véritable rôle de sensibilisateur auprès de l’opinion internationale.
Lors de forums et de rencontres internationales, il alerte sur :
• la situation des libertés publiques,
• les injustices sociales,
• les défis démocratiques,
• la condition de certaines communautés marginalisées.
Son objectif est clair : faire entendre la voix du peuple mauritanien là où elle est souvent ignorée.
« Quand les portes se ferment à l’intérieur, il est de mon devoir d’aller frapper à l’extérieur pour que le monde sache ce que vit notre peuple. »
Un homme profondément proche du peuple
Ce qui distingue surtout Khally Diallo, c’est sa proximité réelle avec les citoyens, loin des postures protocolaires. Il se rend régulièrement à l’intérieur du pays, dans des zones enclavées, pour écouter :
• les paysans expropriés,
• les familles victimes d’injustices,
• les jeunes sans emploi,
• les femmes en situation de précarité.
Il prend le temps d’écouter, de recueillir des témoignages, puis porte leurs doléances directement devant les autorités.
« Je ne parle pas à la place du peuple, je parle avec le peuple. Ce sont leurs mots que je rapporte dans les institutions. »
Le député des jeunes : une relation directe et moderne
Khally Diallo est aussi devenu une référence pour la jeunesse mauritanienne. Très actif sur les réseaux sociaux, il répond directement aux invitations des jeunes, participe à leurs débats en ligne, encourage leurs initiatives et les pousse à s’engager dans la politique, l’entrepreneuriat, la société civile et la formation.
Il leur répète souvent :
« Si vous désertez la politique, d’autres décideront toujours à votre place. Engagez-vous, même si c’est difficile. »
Dans plusieurs rencontres avec des jeunes, il insiste sur :
• l’importance de la conscience citoyenne,
• la participation aux élections,
• la formation,
• la lutte pacifique pour les droits.
Pour beaucoup de jeunes, il représente un modèle d’accessibilité et de courage politique.
Une constance rare dans le combat
Ce qui force le respect chez Khally Diallo, c’est surtout sa constance. Il ne choisit pas ses combats selon l’actualité ou les avantages politiques. Il aborde quasiment tous les sujets sensibles, sans trembler, sans calcul, sans discours creux.
Son action repose sur une conviction simple :
« Le rôle d’un député n’est pas de plaire au pouvoir, mais de protéger le peuple. »
Khally Diallo apparaît aujourd’hui comme l’un des rares élus dont la parole reste alignée avec les actes. Défenseur infatigable des opprimés, porte-voix des sans-voix, acteur engagé à l’international, homme de terrain proche des jeunes et des populations vulnérables, il incarne une politique de responsabilité, de courage et de sincérité.
• Dans un pays en quête de justice, d’égalité et de stabilité, sa voix dérange parfois, mais elle reste indispensable. Car comme il le dit lui-même :
« Le silence face à l’injustice est une forme de complicité. »
Ibrahima Samba DIOUM
Professeur d’économie-gestion
Académie de Paris



















